Ambassade des Etats-Unis

Cher Benoît 1er

J'ai appris de mon délégué qu'il avait été fort mal reçu en votre palais, et vous me permettez de me traiter d'incourtois? J'ai essayé de résoudre le problème floridien de façon pacifique, mais par votre bêtise il sera résolu, à mon grand regret, dans le sang et il est désormais inutile que je vous aide dans votre "grand projet de paix" qui me semble désespéré étant donné que vous n'avez pas les moyens dont je dispose pour faire pression entre autre sur la Grande et Puissante France. Je vous laisserai donc couler comme des misérables, vous avez rejeté un allié potentiel et en avez fait un de vos ennemis. Que l'espagne se repentisse! J'envoie dès que possible une armée pour débarquer à Cuba et la soutirer du joug esclavagiste espagnol tout comme je l'ai fait pour la Floride.

Vous avez osé me traiter de colonialiste parce que j'envahi la Floride? Ou est passé votre logique, la Floride était une colonie et aujourd'hui grâce à moi elle va faire partie intégrante d'un pays, les floridiens ne me sont point hostiles contrairement à ce que vous aimer croire, je n'ai laissé aucune garnison dans aucun village conquis et aucun de ces derniers ne s'est révolté, est-ce là la volonté d'un peuple malheureux? Je ne crois pas

Vous disez que je massacre les indiens et les noirs? J'ai aboli l'esclavage, et j'ai intégré des VOLONTAIRES africains et indiens dans mon armée pour leur donner une chance de se distinguer et de monter socialement. Je n'ai jamais orodnné qu'on lève les armes contre ces deux peuplades vous ne pouvez donc en aucune manière me traiter de la sorte!

Vous aviez un ami, désormais appelez moi ennemi vous m'en verriez ravi!

Le Comte Arno, se trouvant au coté du Roi, lui donna la lettre de SE Hamilton...

Le Roi, après l'avoir lu, déchira celle-ci, et, la jeta à l'autre bout de la pièce...

"Pourquoi, s'entête t'il, je n'ai rien à voir dans cette crise... Quand à mes tentatives auprès de Ferdinand pour stopper le massacre, elles ont été vaines... Ecrivez à Hamilton Arno, dites lui, que je m'excuse, d'avoir été dur auprès de son Représentant, mais celui ci, n'avait rien à faire dans les négociations qui me préoccupent en ce moment...

Par contre, faites lui savoir, que je n'aime guère ses manières, lorsqu'il dit, le peuple opprimé, mis en esclavage, par les Espagnols, a t'il les preuves de ce qu'il avance, et, les habitants de ces colonies, qui étaient là, bien avant que Monsieur Hamilton soit à Washington, seraient ils encore entrain de combattre si, comme il avance, la Couronne d'Espagne les tenait en esclavage...

Mais dites lui bien, que j'ai fais her encore, tout mon possible auprès de mon Noble Cousin, pour qu'il signe la rédition de ses milices en Floride...

Dites lui aussi, que je suis d'accord sur le fait, que c'est un triste massacre, mais qu'il peut lui aussi, faire la paix, en payant auprès de Mon Cousin, une somme avantageuse, comme celui ci lui avait proposé pour obtenir ces territoires...Mais ça, Monsieur Hamilton semble oublier, que Mon Cousin, lui a plusieurs fois proposer cela, mais le Gouverneur est t'il avare... Pour avoir refuser cet accord, et, lui même déclencher cette barbarie...

Allons envoyer cela à Hamilton, et, dites lui, que je ne veux plus être ennuyer par cela..."

Gionni Secrétaire de SM le Roi de Naples

Lettre de SM le Roi...

Je n'aime pas les gens, qui crachent derrière le dos des autres, qu'est ce que cela, mes services sont clairs, alors que je tente un rapprochement entre l'Espagne et la Suède, vous osez, rallumer le feu...

Mélez vous, de vos colonies, Monsieur le Gouverneur Général, laissez aux européens le soin de se charger de leurs affaires, je respecte votre Personne, mais, vous n'avez rien à voir dans la politique européenne...

Mais ayant été demander par votre Ambassadeur pour tenter une amélioration de la situation avec mon Cousin, sachez que je n'ai pas été immobile et inactif dans cette affaire, j'ai plusieurs fois, demander à mon Cousin d'ouvrir les négociations avec vous, pour, rétablir le calme...
Celui ci, m'a dit maintes fois, que vous ayant proposer de lui acheter ses territoires, vous avez tout bonnement refuser...

Est ce là, la réaction, d'un libérateur des oprimés, d'un pourfendeur de la tyrannie, ou bien, le reflet d'une politique totalitaire et expansionniste... qui n'est j'en suis sur en aucun vos idées de la Politique, vraie, sincère et égalitaire...

Et, cette chose, dont je vous avais parler, voilà, qui prouve votre mauvaise fois dans cette affaire, je peux, ramener le calme entre vous, et Madrid, et, cela est très simple, verser un tribut en échange de ces territoires, le Roi, Ferdinand VII, ne pourra refuser...

Ce Conseil doit être suivi pour les autres colonies, qu'allez vous donc faire... envahir toutes les colonies européennes en Amérique du Nord???

En ouvrant des discussions avec les coloniaux, et en leur proposant d'acheter leurs territoires, vous, risquerez moin, d'avoir toute l'Europe sur le dos...

C'est un conseil d'ami, car pour moi, vous en êtes toujours un...

De plus, rappelez vous, qu'il y a un peu moin de 30 ans, un Roi, a pris la défense, d'un peuple, contre l'opression, ce peuple c'était le votre, le Roi était mon regrétté Cousin, il était de mon Sang, du sang Bourbon, et dun sang qui coule dans les veines des Rois d'Espagne.

Amicalement

Benoît Ier Roi de Naples et des Deux-Siciles

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