Ambassade de France

Au nom du Roy,

Ici s'élèvera désormais l'Ambassade de l'Empire français à Madrid, afin que puissent être entretenues les meilleures relations diplomatiques possibles entre le Royaume d'Espagne et son Grand voisin Pyrénéen.

Bernardo, Grand d'Espagne et Premier Ministre du Roi

L'Empereur Napoléon vous remercie humblement pour cette ambassade et construira une ambassade Espagnole près de celles d'Italie et celle Ottomane.
En attendant il m'envoie tenir cette ambassade et espère que nos pays pourront être plus qu'amis.

Salutations,
Henri, l'ambassadeur français en espagne.

Cher Voisin,

J'ai appris que vous vouliez faire payer une taxe à tout ceux qui traverser le détroit de Gibraltar. Je refuse de payer quoi que ce soit pour le traverser !
Je vous ordonne même de retirer cet demande de votre roi qui est complètement irrationnelle !!!

Si vous refusez d'annuler cet ordre, nos relations ne pourront être plus que mauvaises !

Non Cordialement,

Napoléon

Cher Voisin,

Vous comprendrez bien entendu le désarroi dans le quel je me trouve actuellement au vu de l'assassinat duquel est victime mon pays par la perfide Albion.
Sachez qu'il n'a jamais été de mon intention de faire payer une quelconque taxe pour le détroit, cette erreur insérée au cours de la rédaction du brouillon, fut publiée dans le décret à mon insu, n'ayant pas eu le temps et la concentration nécessaire pour le réviser, du fait des moments critiques que traverse mon pays.

Je suis sur que le travailleur acharné que vous etes comprendrez combien il est difficile pour un souverain de relire tous les décrets, surtout au moment ou le tonnerre de la guerre gronde...

La trahison d'Albion est comme un coup de lance dans le coeur reconnaissant que mon peuple avait chaleureusement adressé à son roi.

Conserver Gibraltar coute que coute occuppe à présent tout mon esprit, fut-ce au prix d'une guerre.

Je vous prie cher Voisin, de croire en mes sentiments les plus sincères

Ferdinand de Bourbon

Lettre adressés au Roi des Espagnes, Ferdynand VII de Bourbon:

Cher Ferdynand,

Nous avions décidé de nous rendre à Madrid pour la réunion des Grands d'Europe mais je souhaiterais vous prévenir qu'elle se fera à Paris, en effet, cela fera près de quelques 1.000 Kilomètres en moins pour notre Tzar.
Si cela vous convient ...

Cordialement,"
Napoléon

A l'attention de S.M. L'Empereur Napoléon Ier

Votre Majesté,

Je tiens par la présente à louer votre bon sens. Aussi, je ne puis qu'approuver votre aimable proposition de tenir dans votre capitale cette Réunion au Sommet entre les Grands Souverains d'Europe.

C'est donc à Paris que le sort de l'Irlande se jouera. Les Grandes Puissances d'Europe y seront réunies au grand complet, afin que ne se reproduisent plus les errements d'un Passé encore trop proche de Nous.

Bien Vôtre,

Ferdinand le Victorieux, Roi et Régent.

Lettre adressée à Ferdynand de Bourbon, Roi des Espagnes:

Cher Ferdynand,

Comme je l'ai dit à notre Tzar, les fêtes de Noël arrivent à grand pas, aussi avec la Réunion des Grands prévus en ce moment, je ne sais pas si nous pourrons la faire tout de suite. C'est pourquoi, si la paix en Europe est plus importante que les fêtes de Noël, je vous invite à Paris pour la réunion mais aussi pour passer les fêtes de Noël. Nous organiserons une grande fête.
Si vous acceptez, je vous enverrais le programme des fêtes. Si vous refusez, je comprendrais aussi.
Vous pouvez amener toutes votre famille si vous le souhaitez, peut-être pas tout le royaume ().

J'ai fait la même proposition au Tzar.

En attente de votre réponse.
Très cordialement,
Napoléon

A l'attention de SM l'Empereur Napoléon Ier

Cher Napoléon,

S'il est une ville qui doit valoir le coup d'être vue sous la neige, c'est bien Paris, votre capitale!

Voyez-vous, nous autres espagnols ne connaissons que le soleil et le sable fin tout au long de l'année. Nous en sommes lassés. Un peu de froid, de neige et d'aventure nous fera le plus grand bien!

Je viendrai en compagnie de l'héritier au trône de Naples, le prince Benoît, qui profitera ainsi de l'occasion pour apprendre à mes côtés son futur métier de roi. Un conseil : gâtez-le dès son arrivée, il s'en souviendra plus tard! Il a demandé aux Rois mages pour Noel la PS0 (??) un canon de 16 et un livre illustré : "Le Roi Absolu en 10 leçons ou comment devenir un éternel capricieux." Il sait de qui tenir!!

Mon Premier Ministre pour sa part s'occupera du bon fonctionnement du Royaume durant mon absence. Il m'a promis de mettre le feu à l'Espagne pour éradiquer le (f)roi. N'est-il pas vertueux??

Bien à Vous,

Ferdinand de Bourbon, Roi et Régent

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