Ambassade Royale d'Espagne

avec grand plaisr
je lance immediatement la construction de votre ambassade

je comprend, et je ne vous en tiens pas rigueur. un mariage a l'a veille d'une guerre peut etre mal compris par le peuple. mais vous pourrai toujours vous marier pour feter votre victoire contre vos ennemies

Lettre en Provenance de Madrid à l'attention du Roi Amédée de Savoie


Votre Majesté,


Suite à la signature de la Paix entre mon pays et la France, je me permets de vous écrire personnellement afin de vous exposer plus précisément les raisons qui m'ont poussées à agir de la sorte.


L'Espagne et la France étaient en guerre depuis le début du conflit. Votre intervention dans cet affrontement avait pour objectif de freiner la progression de l'ennemi sur mon territoire et pour cela je vous en suis reconnaissant.
Sachez qu'il est de mon devoir d'assurer la sauvegarde de la Couronne d'Espagne. Or celle-ci s'est mise à vaciller suite à l'attaque surprise du Portugal dans mon dos. Cette attaque imprévue semblait pouvoir être contenue au départ par l'ensemble de mes troupes, malheureusement la tournure de la bataille de Bilbao ainsi que des événements de Galice m'obligèrent à reconsidérer ma stratégie. De plus, c'est avec un effroi certain que j'appris par mes espions à Washington l'intention des Etats-Unis d'Amérique de venir en aide à l'ennemi.


Devant une situation prochaine qui semblait devenir des plus critiques pour l'avenir de la Royauté Souveraine en Espagne, il m'a fallu prendre la décision de conclure la Paix rapidement avec la France lorsque l'occasion s'est présentée à moi. Malheureusement au moment où celle-ci fut conclue, mon ambassade en Savoie ne put entrer en contact avec Vous afin de vous exposer en temps réel l'évolution des événements.
Devant la pression qui se faisait chaque heure plus grande autour de mon Pays, objet de tant de convoitises, je fus dans l'obligation d'accepter l'offre de Paix que me proposa la France, qui exigeait en contrepartie de son retrait du territoire national celui des troupes russes et autrichiennes.


Sachez que je fus le plus peiné des hommes lorsque j'appris votre déclaration faite à votre peuple. L'Espagne, accepter une reddition? Un général désormais célèbre de mon Armée (le Général Ballesteros), vous aurait répondu que l'espagnol ne sait pas se rendre, aussi, pour corriger ce défaut de la nature, il se sacrifie pour son pays!
J'espère que cet écart de langage surprenant de la part d'un Roi tel que Vous n'augure pas un refroidissement de nos relations, en même temps qu'une radicalisation de votre politique envers l'Espagne.
Mais qu'ai-je appris également? Que vous avez osé traiter l'Espagne d'un piètre allié? Revoyez vos propos déplacés, Sire, et expliquez-moi où se trouve le mal lorsqu'un Roi souhaite assurer la sécurité à ses frontières?


Vous-même, qui semblez me donner des leçons, n'avez-vous pas tenté personnellement d'entrer en contact avec la France, sans avoir au préalable consulté Vos propres alliés? Cette attitude est blamable à mes yeux, et le fait de m'en avoir fait part après coup n'a fait que susciter auprès des puissances européennes qui étaient vos alliées les plus grandes des interrogationsà votre égard.
Qu'eussiez-vous pensé? Que je cautionne un acte qui aurait assuré un déferlement des armées françaises jusqu'à Madrid? Nous étions peut-être "amis" Sire, car il semble malheureusement que nous devions à présent parler au passé, mais nous restons avant tout des Souverains, n'ayant comme constant souci que le bien de leur peuple.
Mon souci était de mettre fin le plus rapidement possible à ce cruel désavantage stratégique dont souffrait mon pays. Il m'a fallu par conséquent prendre les décisions qui s'imposaient.


Désormais, les événements peuvent reprendre leur cours, avec un avantage certain de "notre" cause, qui ne semble plus être la votre, qui est de mettre fin au régime despotique de l'infâme Angleterre, de son surprenant vassal, le Portugal, et de son enfant tyran les Etats-Unis.
Dans cette Europe tourmentée par le fléau guerrier, l'on est sûr de rien aujourd'hui.


Isolez-vous si vous le souhaitez dans votre "Empire", mais celui-ci ne résistera pas longtemps à la Marche En Avant de l'Histoire qui finira tô ou tard par vous rattraper.


Ferdinand de Bourbon, Roi et Régent

sachez que si avec la france j'ai engage des pourparler c'etait pour mettre fin a cette guerre. elle m'avait propose un traite de paix que j'aurai accepter a la seul condition qu'elle signe un traite de paix avec vous. vu que napoleon a refuser mon offre je vous en ai fait par et j'ai refuse le traite et tout sa pour quoi pour que vous quelques heures apres signes un traite sans m'en informer alors que juste avant vous m'avez supllier de continuer la guerre.
et par honneur j'ai continue alors que j'aurai pu vous laisser vous debrouiller tout seul.