Ambassade Royale d'Espagne

Cher Ferdinand VII,

J'aimerais que vous sachiez que votre ambassadeur n'est pas en prison mais dans son ambassade, qui elle même est gardé pour plus de sécurité par rapport aux habitants. Je ne pense pas qu'un ambassadeur soit responsable et qu'il faille lui faire du mal donc le votre ainsi que tous ceux en France sont en sécurité !! J'espère que les ambassadeurs français à l'étranger auront le même sort.

Pour ce qui est de mes hommes, je leur fais confiance et ils me font confiance eux aussi. Mais sachez que si vous réussissez à me convaincre qu'aucun acte sera fait à mon encontre si mes troupes vont défendre mon allié ottoman et vous connaissez mes réaction lorsqu'un allié est attaqué alors je ne vous ferez rien. "La balle est dans votre camp" ( ) je vous laisse saisir votre chance.

Sachez également que l'angleterre n'est pas mon allié et que je suis totalement contre son attaque envers vous mais je ne peux pas être le gendarme de l'europe et donc je ne peux rien faire à son égart à part une méprise sûr.

Sincèrement,
Napoléon

Lettre en provenance de Madrid à l'attention de S.M.I Napoléon Ier Empereur des Français


Votre Majesté,

J'ai bien pris note de la lettre que m'a fait parvenir mon ambassadeur à Paris.


Je tiens tout d'abord à vous remercier pour toute la bienveillance que vous portez à celui-ci, et puis vous assurer de mon côté que les droits et fonction de votre ambassadeur à Madrid seront maintenus dans leur totalité.
Toutefois, je tiens à vous dire que mon Ambassadeur, étant un Grand d'Espagne, a su faire preuve par le passé de suffisamment de courage pour ne pas avoir recours à une protection étrangère pour assurer ses arrières. Il dispose qui plus est d'une garde personnelle suffisamment rapprochée, espagnole de surcroît, apte à assurer sa protection entre les murs de l'ambassade.
Mais à présent, changeons de sujet car l'heure n'est plus aux bonnes convenances, mais à la franchise entre deux Etats sur le point de se déchirer pour une guerre stupide.


Je prends note de votre apparente volonté de ne pas avoir recours à la force des baionnettes pour régler le différend qui nous oppose. Mais de quel différend parlons-nous au juste?
Depuis le début vous arguez un complot de l'Espagne à l'encontre de la France. Mais avez-vous les preuves que vous affirmez détenir? Et quand bien-même possèderiez-vous des documents impliquant ma diplomatie, avez-vous pris le temps de bien remettre ces papiers dans le contexte politique européen de l'époque où ils ont été écrits? Permettez-moi d'en douter!

Je me répète encore, mais la cause de ce malentendu vous le savez bien a pour seul nom Albion. Sa vile ambition est de profiter du chaos européen pour faire main basse sur le continent! L'infâme Traître Anglais a argué la mise en place d'une coalition des puissances alliés à ma personne contre Votre Majesté. Mais je vous le réaffirme ici-même, cette mesure ne devait être prise qu'en représailles à une éventuelle attaque de votre part contre cet ancien allié qui crache sur les Traités comme il respire!

Sa motivation première était d'attaquer frontalement l'Empire Ottoman, rien moins que celà! Un véritable suicide quand on connaît la hardiesse des défenseurs de Guillaume Pacha! La conviction du bien fondé de son entreprise était à la hauteur de sa folie, sans limites! De plus sa flotte et ses troupes était prêtes. Imaginant une riposte de votre part contre Londres, et étant respectueux des Traités d'alliance que nous avions passé avec ce roi que nous considérions comme notre allié, nous avons été dans l'obligation d'envisager le pire, à savoir un conflit européen entre nos nations, et ce que cela impliquerait pour nous.


C'est que rien ne semblait plus pouvoir l'empêcher d'attaquer l'Ottoman! Malheureusement, c'était sans compter sur sa félonerie...
Sans crier gare, et après s'être procuré les documents qui concrétisaient sa volonté de semer le chaos et la discorde entre les Nations, le Fou Anglais me somma contre toute attente de lui remettre la place de Gibraltar! Reconnaissez que le Roi fou d'Angleterre retourne sa veste aussi vite qu'il change d'opinion sur une question!
Mal lui en prend de s'attaquer à moi, car cela prouve au Monde qu'il n'a pas su reconnaître en l'Espagne et ses alliés des amis sincères. Pire, il a usé de notre seule faiblesse (la confiance placée en lui) pour vous monter contre Moi!


Sire, l'Espagne n'a jamais été votre ennemie, retrouvez une seule lettre d'ambassade témoignant d'une quelconque volonté de rompre une entente cordiale avec vous! Vous n'en trouverez pas! Plus grave encore, en vous faisant bien malgré vous le complice de l'infâme anglais, vous vous discréditez, vous et votre Empire aux yeux de toutes les Cours d'Europe! Et ce définitivement...
Plusieurs avertissements ont été envoyés à Votre Majesté pour revenir sur le chemin de la raison. Jusqu'ici sans réponse. Et que vois-je aujourd'hui dans le message que vous m'adressez?
Vous souhaitez retirer vos troupes des mes frontières, ce qui est un bon début, et revenir sur des bases plus saines, soit, mais en osant me poser des conditions! L'on croît rêver! Où vous croyez-vous, dans la cour de l'école? Mais l'on parle ici de Cours Européennes! Sachez que l'Affront que vous faites à la Couronne d'Espagne en l'accusant de fomenterie est à la mesure de la confiance que j'avais mise jadis en l'Anglais. Gargantuesque.


Autre prodige invraisemblable de votre lettre, vous osez vous comporter en agressé! Mais Vous êtes l'agresseur!
Vous seul avez placé votre flotte au large de Gibraltar, répondant par-la même à la volonté de l'anglais qui profite de votre aveuglement devant la réalité des choses!
C'est plutôt à Vous de m'apportez des garanties de paix, alors même que mes observateurs rapportent les déplacements de vos Armées aux Pyrénées, aux portes de mon Royaume!
Pour jouer pareil rôle, Sire, vous n'avez pas choisi le bon camp!


Et qu'exigez-vous en plus de tout celà? Que je lâche le Tzar, mon ami, qui m'aide dans ma croisade contre le despotisme de l'Angleterre!
A vous écouter, ce serait rester les bras croisés et vous laisser, vous et votre allié Ottoman, mettre à mort un frère d'armes! Vous avez de biens basses conceptions de l'Honneur, général Buonaparte!
Alors, vous arguerez sûrement de votre droit à défendre un allié, mais il est également du mien de faire jouer le droit à l'amitié, et à venir en aide à un Homme qui au-dela des monts et des mers soutient la passe difficile que traverse mon Royaume.
La famille Bourbon contre vents et marées a toujours su faire preuve de courage et a toujours su reconnaître dans les tourments ceux sur lesquels elle pouvait compter. Le Tsar Alexandre en fait partie car il est un des plus fervents soutiens à la cause des Bourbons, régnants ou non, à travers toute l'Europe.
Sachez que les familles régnantes en Europe n'ont jamais toléré le martyre de mon Cousin Louis en 1793. Le 21 Janvier est désormais dans notre famille synonyme de deuil. En prenant un tel virage, la Grande France Révolutionnaire de 1789 est devenue la Sanguinaire de 1793.
Mais l'heure approche, où cet odieux crime sera bientôt vengé...


Général, de cette lettre, vous tirerez les conclusions qui vous intéressent. Pour ma part, je ne discute plus avec un condamné...

Cependant, j'ai grande pitié de vous, et tiens à vous mettre en garde. Vous êtes un cocu en devenir! L'Anglais vous trahira en effet comme il m'a lâchement abandonné, attiré par un pouvoir qu'il n'obtiendra jamais par de telles bassesses! Il est la cause des tourments de l'Europe, et provoquera sa ruine si rien n'est entrepris pour l'arrêter! Vous comprendrez que devant pareil péril, ma position reste des plus fermes qu'il soit.


Le plus sincèrement qui soit,

Ferdinand de Bourbon

[HRP]: mais euh j'ai pas eut le temps de répondre aux messages, je suis en BAC blanc moi ....
Autre point, George, tu n'as pas à écrire là ... comme c'est marqué dans les règles, tu ne peux pas écrire ds une ambassade autre que la tienne, sauf si un des ambassadeur demande ton avis ... [/HRP]


Lettre adressé au Roi d'Espagne que j'emmerde grandement

Votre Majesté,

Etant fort occupé par la politique intérieur, je ne pus vous répondre en effet, et j'en suis fort désolé. De plus, mon ministre, le général Masséna vient de m'informer qu'il devait quitter son poste, pour des raisons familiales que je n'étalerais pas pour son intimité.

C'est donc aujourd'hui que je vous réponds, en effet, l'anniversaire de l'éxécution de Louis XVI, qui j'en suis désolé, ne fut pas une erreure pour la France, contrairement à ce que vous pensiez, fut il ya quelques jours, et ce jour fut célébré... mais non comme vous auriez pu l'imaginer...

En effet, ce jour fut célébrer par les royalistes du pays, les seuls je pense a l'avoir fait. Chaque personne le désirant pouvait faire la minute de silence, non imposé, mais mise à midi pile.

Vous parliez d'une erreure de la France, je ne le pense pas, en effet, sa tête aurait pu ne pas lui être guillotiné, mais tel fut le choix des français en fureur. Je pense que la guerre qui s'en suivit fut un désastre mais ce ne fut pas le faire que Louis XVI soit vivant ou non qui aurait changer quoi que ce soit.

Je suis l'héritier de ce roi ... certes je lui succède ainsi qu'à tous les souverains qui gouvernèrent ce beau pays qu'est la France. "Sa famille tôt ou tard le reprendra" ... vous faites partis de sa famille celle de Bourbon ... ne serait pas des menaces d'une quelconque aide au Comte de Provence pour me prendre mon poste d'Empereur ? Je ne l'espère pas, je ne mêle pas des affaires intérieures des autres Nations et j'espère que les autres en feront de même à mon égart. Ma chute n'arrivera pas, ou peut-être que si, je ne suis pas invincible je le comprends bien mais elle n'arrivera pas par cette cause !

Et pour répondre à votre demande, je me vois la refuser, la fête de sa mort ne sera pas imposé au peuple français, elle sera fêter par qui le veut, c'est à dire le Comte de Provence et ses royalistes...
Nos relations ne seront pas touchés je l'espère par ce refus mais voyez-vous, la France, son Empereur et ses sujets ne veulent pas de cette "fête", bien sûr, le gouvernement aidera quiconque à aller en Espagne fêter cet évènement, et aucune fête dans aucune ville de France ne sera interdite mais le gouvernement n'aidera en aucun cas celles-ci.

J'espère que mes réponses vous aurons aidés à voir comment se porte la France à notre époque, elle regarde vers l'avant ! Bien sûr, j'ai bien conscience que notre regard vers l'avenir ne laisse en aucun cas aucunes instructions des jeunes français de nos Provinces sur notre histoire. Depuis que la France eut repris ses esprits, les écoliers français étudient en Histoire, celle de la France et donc le passage troublant de la mort de votre cher défunt Louis XVI.

Sincèrement,
Napoléon

Lettre à l'attention de S.M.I Napoléon Ierle Petit


[i]Votre Majesté,

Je suis tout satisfait d'avoir enfin reçu une réponse de votre part. Celle-ci m'apprend que les Royalistes de France - soit à mes yeux les seuls et vrais Français dignes de ce nom - ont pu commémorer dans le recueillement la mort odieuse de mon défunt Cousin Louis. Cela je tiens devant Vous à m'en féliciter. Je constate ainsi avec soulagement que la période de la Terreur est révolue sous Votre Règne.

Néanmoins, j'estime quant à l'éducation des jeunes Français que ceux-ci doivent être sensibilisés à tous les aspects de la Révolution Française, bons comme mauvais, ainsi qu'à l'Histoire de France sans en occulter aucun aspect.
L'Histoire de France ne débute pas le 14 Juillet 1789. Mille ans d'héritage Capétien ont façonné ce territoire qui étonna jadis le Monde par son rayonnement.

Aussi, je ne puis que m'interroger quant à l'impartialité théorique des enseignants d'Histoire, foncitonnaires d'un Etat qui se revendique de la Révolution.
En attendant des garanties de Votre part au sujet de l'exhaustivité des thèmes abordés en classe, je vous prie d'égrgréer l'expression de mes plus cordiales salutations.

Ferdinand de Bourbon