Réunion au Sommet

En ces temps tourmentés, où l'Albion est punis de ses mauvais actes par des petites rebellions en Irlande qui finirent presque par faire perdre l'Irlande à son roi Georges III, un sommet des grandes Nations que sont: l'Empire de Russie, le Royaume d'Espagne, le Royaume d'Angleterre et l'Empire de France; vont essayer de donner une possibilité à l'Irlande d'être entendu et à Londres d'exercer son autorité sans effusion de sang.

Pour cette réunion, est présent:

Pour représenter l'Empire de Russie: le Tzar Alexandre Ier en personne.
Pour représenter le Royaume d'Espagne: le Roi Ferdynand VII de Bourbon.
Pour représenter le Royaume d'Angleterre: le Roi Georges III.
Et pour représenter l'Empire de France: l'Empereur Napoléon Ier.

Arrivée des invités au Palais

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Salle de Réunion du Palais

Au petit matin, dans la brume qui enveloppait alors Paris, ville des Lumières encore endormie, surgit en direction des quais de Seine un imposant convoi.

200 cavaliers escortaient une voiture, sur laquelle figurait le blason Royal de la Maison d'Espagne. Une Couronne dorée surmontait ce carosse, dont la vitesse par une heure si matinale éveilla la plupart des Parisiens.

Les trompettes de l'avant garde retentissaient en effet à chaque coin de rue afin d'éviter tout accident avec quelque piéton bien mal venu sur la trajectoire de l'escorte.

A l'intérieur de cette voiture, un Roi qui veillait sur son petit Neveu endormi. Le petit dauphin Benoît, surnommé par les laquais du Palais Royal de Madrid "le Vésuve de Naples" ou encore "l'Etna de Sicile", - deux célèbres volcans connus pour leur calme trompeur - était comme tous les enfants de son âge un capricieux avéré. Mais à la différence de la floppée de mômes vivant au XIXème siècle et qui à cette heure là dormaient tout comme lui paisiblement, il avait la terrible, redoutable, effrayante particularité d'être un Roi en devenir, et en avait parfaitement conscience...

Olé, Asi viene El Glorioso Vincitador Fernando VII de Borbon, Rey de Espagna, Regente de las Dos-Siciles!

La Voiture Royale s'arrête devant le perron du Palais Impérial. Vêtu de sa redingote, un homme petit d'apparence regarde fixement le Roi s'amener vers lui, portant dans ses bras le petit d'homme. Furieux, Napoléon - qui n'a pas souvent l'habitude de dormir - venait de se coucher lorsqu'il fut révéillé par le vacarme assourdissant des gardes espagnols. Une véritable Feria était en effet en train de s'installer sous ses yeux ébahis. Mais son sens de l'hospitalité l'emporta sur sa ferme volonté de guerroyer, et, prévenant, s'adressa en ses termes au Roi Ibérique :

-Cher ami, permettez-moi de vous aidez à porter ce petit ange,vous devez être fatigué par la longue routequi vous amené jusqu'ici!

-Comme vous dites, lui rétorqua Ferdinand, le Vésuvius a refait Pompéi dans la Voiture. Il ne s'est arrêté qu'après avoir déversé sa colère sur mon pauvre Page Sancho Pansa et l'intérieur de mon carosse!

En effet, l'intérieur de la Voiture était véritablement lacéré, les coussins éventrés, les boiseries déchiquetées, comme si quelque châtiment s'était abattu dans ce lieu si étroit, un lieu qui semblait avoir vécu 100 batailles en 10 jours de Route.

-Prenez-le dans vos bras si vous le souhaitez, mais je ne vous garantis rien de ce qui adviendra. Le dauphin a une aversion totale pour tout ce qui est "insulaire". Une île pour lui, c'est trop petit pour pouvoir assouvir sa domination.

L'âme du Corse s'en trouva alors fortement ébranlée. Lui qui rêvait tant d'un Aiglon pour assurer sa succession, voyait dans cet enfant endormi comme un signe annonciateur de jours heureux pour lui et sa Joséphine.

-De biens curieux personnages! pensa-t-il, songeur.

La Voiture Royale de Ferdinand VII

Alors que son altesse Ferdinand VII était déjà présente à Paris depuis 5 jours, le 27 novembre 1804, l'Escorte de son Altesse Impériale Alexandre, le Tsar de toutes les Russies, arrivait en vue de Paris. Escorté par 250 Cuirassiers de la Garde Impériale et de 50 gardes du corps, le cortege pénétra dans Paris, devant les yeux hébahis de la foule. Sur le carosse était frappé le seau de la couronne Russe :

Arrivé au péron du palais, alors que Napoléon et Ferdinand s'appretaient a acceuilir leur hote, ce ne fut d'abord pas Alexandre qui sortit, mais sa femme, le belle Grace, Impératrice de Russie, dont les charmes étaient connus de la mer d'Oural à l'Atlantique. Ensute sortit Alexandre, accompagné de ses enfants.
Mes chers Ferdinand et Napoléon ! Heureux de vous revoir en des climats plus tempérés!
Tout trois se saluèrent, Alexandre introduit sa gracieuse femme dans la conversation, puis tous rentrerent dans le Palais.
Seul Goerge III était encore attendu pour inaugurer le sommet.

Hrp: désoler si je ne fait pas un texte ausi beaux et complet que les votre mais bon lol

George III accourut vers la salle ou tout les dirigeants des grands pays sont assis .

" Désolé de mon retard , mon carosse a dut faire plusieurs détours pour arrivé jusqu'ici , il faut dire aussi que Paris à des rues très étroites . "

George III sourit et alla s' asseoir autour de la table .

Edit: "mon carosse" ... c'est mon navire et mon carosse qui t'ont fait venir ici Very Happy

Après que le roi anglais s'assit à sa place, l'Empereur Napoléon se leva et prit la parole:

Mes chers voisins, mes chers amis,

Si cette réunion a lieu, c'est pour parler du problème Irlandais et anglais.

Le but de cette réunion est de réussir à faire dialoguer les deux protagonistes de cette histoire. En effet, il ne serait point acceptable que de nouvelles effusions de sang recommencent. Après la guerre, je pense qu'assez de sang a coulé. Même si après une guerre chaque souverain serait plus en vue à s'occuper des affaires intérieures à son pays, je pense que nous devons regarder en avant et essayer de rendre une paix complète pendant encore de longues années j'espère.
C'est pourquoi, je laisse la parole à Georges III pour nous expliquer plus en détail la situation.

Ensuite, chacun de nous dira son avis, et nous essayerons de concluer cette réunion par un acte en accord de tout le monde.

Par contre, ne faudrait-il pas que le chef des rebellés, Mc Cleese ou un de ses représentant vienne ici ?!
En effet, leur courage est sans mesure et décider de leur sort sans avoir leur version serait quelques peu enrageant pour ceux-ci, et je ne pense pas qu'ils accepteront le verdict, à moins qu'un des leurs y ait participer.

Je vous laisse la parole Georges...

Napoléon se rassit à sa table et dirigea son regard vers Georges III en attendant sa version des choses.

George III se leva et regarda tout le monde et prit la voix.

" Bonjour messieurs, vous savez donc que mon pays passe une crise très délicate, l'armée révolutionnaire d'Irlande compte 85.000 hommes : 50.000 miliciens et 25.000 miliciens a cheval. Elle compte un corps d'Elite composée de l'armée régulière de 10.000 hommes : 5000 grenadiers et 5000 cuirassiers. Elle dispose de 200 pièces de 8 et 400 pièces de 4. Pour vous dire a un tel point que l’Irlande est prête au combat !!! On dénombre également 2000 à 8000 paramilitaires non encadré dont les actions sont beaucoup plus violente, qui sévissent dans la région de Belfast. Les arrestations de royalistes se multiplient: les prisons sont surchargées, et ils en exécute a tout va. Des massacres importants on lieu dans tout le pays: déjà 6000 morts royalistes sont a déplorer, ainsi que 4000 républicains, principalement dans le nord. Des violences intercommunautaires ont également lieu : plusieurs prêtres catholiques et anglicans on été retrouvé pendus ou mutilés. Pour vous montrez encore une fois que l’Irlande est prête au combat et qu’elle ne veut que ça !!! Car avec tout ces meurtre contre la couronne anglaise je ne peux que envoyé mes troupes !! Ils ont aussi une petite flotte a Cork: elle est composée de 3 frégates et 5 bricks. Pour vous dire encore une fois cher grand de l’Europe qu’ils veulent la guerre et qu’ils veulent que le pays parte dans une révolution sans fin. Je dit jusque que nous devons la réprimé tous ensemble une bonne fois pour toute si c’est ce qu’ils veulent vraiment et ben il l' auront !!! "

George III se rassit.

Alexandre, bien que d'abord légèrement déconcerté par la brutalité des dires de Goerge III, se resaisit bientôt et enonça son point de vue, diametralement oposé.

Messieurs,

Tout d'abord, je voudrais souligner que toute mort est une tragédie, mais que malheureusement ceci peut arriver lorsqu'un peuple a été poussé a bout.
L'Irlande compte en ce jour 85.000 hommes. Ce ne sont certainement pas, contrairement a ce que veux nous faire croire Goerge, une armée d'invasion, mais bien une armée de Défense. Défense contre quoi, qui ? Sans aucun doute la tyrannie des Absolutistes, qui voudront venir retablir l'ordre dans un Etat qui demande la paix. Pourquoi l'Angleterre gouverne-telle sans Parlement, contrairement a tout les grands souverains d'Europe ? Ne c'est-elle pas retrouvé au couer de la tourmente qu'a subit l'Europe voici quelques temps ?
En tant qu'instaurateur de l représentation Parlementaire en Russie, et en tant qu'instigateur d'un nouveau libéralisme économique et religieux, je ne saurait permettre que l'Angleterre regle ce soulevement par les armes, sans avoir tenté de réels négociations.
Je compte sur les souverains d'Europe pour faire appliquer cette décision, et jure sur mon honneur que j'empecherai toute effusion de sang inutile.
La paix n'est qu'un temps sans guerre, alors tentons de faire de ce temps une période plus longue que nous ne l'avons jamais connue.

Alexandre se rassit, but une gorgé, puis laissat la paroles aux autres souverains présents.

Ce fut au tour de Napoléon de se lever et d'exposer son point de vue, là aussi, contraire à George III:

Messieurs,

Je suis d'accord avec Alexandre. La paix enfin retrouvée, nous devrions essayer de la garder le plus longtemps possible, chaque mort est une petite épine enfoncé dans mon coeur ().
Si l'Irlande s'est munie d'une telle armée, 85.000 hommes c'est assez important, c'est car tout le peuple d'Irlande en avait assez; de quoi peut-on se demander ?
Encore en accord avec Alexandre, pourquoi l'Angleterre a-t-elle décider de gouverner sans Parlement ... Devrais-je dire: Pourquoi avez-vous décider de rompre votre régime Parlementaire George ? C'était l'un des plus ancien avec la Grèce.
Je pense qu'il faut essayer de régler ça dans le calme. Et, je devrais vous dire qu'aucun soldat français mourra pour vous aider à lutter contre une cause que je considère juste.
D'ailleurs, l'homme que vous avez vu tout à l'heure m'a informé que vous même, George adressez à tout pays pouvant vous prêter main forte, une demande d'aide. Les 13 colonies américaines ont par ailleurs commencé l'embarcation de leur troupe.
Cher Alexandre, cher Ferdinand, à quoi cela sert-il que nous cherchons une solution si George III ici présent continue ses actions à côté.

Ne me dites pas que l'armée américaine est venu défendre Londres. Tout le monde ici sait que les Irlandais se défendent mais n'attaquent pas !

Comment pouvez-vous nous expliquez ceci ?!
Sachez qu'à mes oreilles arrivent toutes les nouvelles plus vite qu'on ne le pense...

Napoléon se rassit, appela quelqu'un pour qu'une nouvelle bouteille de bon vin français soit présenté à ces chers Souverains assoifés...

George III se leva .

" Mais comment savez vous que j' ai dissout mon parlement !!!! Bande de fourche que vous etes , des espions de vos rangs ce sont introduit en mon palais !!! Cela est considéré comme un affront a la couronne britannique soit est en sur !! Sur ceux je vous laissent , que l' Irlande deviennent si ils veulent un état indépendants . "

George III quitta la salle en jettant la bouteille de vin par terre .

Napoléon, non pas choqué par la futile réaction de George III dit aux autres Souverains:

Eh bien mes chers,

Vous avez des espions ?! Moi non, mais mon commandant qui a cherché George sur mon ordre n'a pu résister à l'envie de glaner des informations dans les pub du coin ... c'est son droit non et Napoléon rit un grand coup !

Sur ce, j'ai l'honneur de vous dire que ce merveilleux vin auquel nous avons goûté sera celui officiel de la fête de Noël qui auras lieu d'ici peu !

La réunion est close !!

George III entendit le discour de Napoleon et ne put se retenir de rerentré dans la salle .

" Cher Tzar comment savez vous que j' ai dissout mon parlement , si demain j' ai pas une reponse concréte ....... Dites vous que nos deux nations livreront une guerre sans merci . "

George III quitta la salle en saluant Napoleon .

Son Altesse Impériale le Tsar Alexandre rit un grand coup
Cet homme est completement sorti de ses gonds ! Il déraille assurément, je ne pourrais pas m'entretenir plus longtemps avec un aussi sombre personnage. Sur ce, mon cher Napoléon j'attends les festins.

Oui en effet, une guerre comme celle la serait risqué pour ce cher George, mettrons ça sur la folie ... encore une fois soupira-t-il
Mais sachez que je vous soutiendrais en cas d'une éventuelle folie anglaise.

Sinon, veuillez patienter quelques minutes mon cher.
Allons nous installer dans le séjour, nous y serons mieux assis pour dîner.

Le Roi Ferdinand, qui avait du s'absenter pendant le débat pour partir à la recherche du Volcan de Naples - finalement retrouvé sur les toits du Palais en train de jeter une à une l'ensemble des tuiles - revint tout essoufflé dans la salle du Conseil.

Son sang ne fit qu'un tour ; ayant pris connaissance de l'attitude anglaise, le Roi Ferdinand s'adressa en ces termes aux Souverains réunis en Assemblée :

Chers Amis, tous ici présents, et je m'adresse tout particulèrement au Roi Georges, devons comprendre que la seule finalité de ce Conseil est de trouver une solution favorable au soulèvement irlandais.

Je suis particulièrement choqué de voir que le bon roi Goerges III ne prend pas la peine d'écouter les positions irlandaises :

-Que revendiquent-ils au juste? Le droit de vivre comme des irlandais. Cette revendication est toute légitime, et n'entre pas à mon sens en conflit avec les intérêts anglais. Sire, vous pourriez très bien créer un Parlement Irlandais dont vous nommeriez le Président, responsable devant vous des lois qui y seraient votées à venir, permettant ainsi au peuple irlandais d'être reconnu comme tel, tout en restant attaché à la Couronne britannique.

D'un côté comme de l'autre, nous trouvons des extrêmes apparemment inconciliables : d'un côté l'angleterre, qui souhaite rétablir son pouvoir total sur l'irlande, de l'autre le peuple iralndais qui souhaite l'indépendance pure et simple.

Si nous souhaitons éviter la guerre, un équilibre doit être trouvé entre ces deux positions.

Reconnaissez donc leur droit à exister, montrez-vous bienveillant, et alors les irlandais sauront à leur tour reconnaîttre en vous le Roi qu'il leur faut pour les guider sur le chemin de la prospérité.

Dans le cas contraire, vous perdrez bien plus qu'un territoire dans cette affaire...

Le Roi Ferdinand se rassit, et but un verre de Vino Tinto amené spécialement de Valence