Fidèles d’Angleterre, d’Irlande, d’Ecosse, de Galles et autres colonies Anglaises trop nombreuses pour être énumérés,
Mon nom est Emilio del Monté, 1er Secrétaire d’Etat auprès de notre Grand Souverain Pontife Stéphane 1er. Je m’adresse à vous tous, fidèles de la Saint Eglise Catholique Romaine, dignes descendants de Saint Augustin 1er évêque de Canterbury. Fidèles parmi les fidèles, qui avez résisté à la Reforme Anglicane, c’est à vous que je m’adresse.
L’église de Canterbury a tellement souffert depuis toutes ces années qui scellent la fin de cette Grande et Noble Albion, votre Saint Père le sait et il en ne l’a pas oublié. Mais aujourd’hui, que reste-il de cette Albion jadis respecté et honoré? Que reste il de cette Grande Angleterre ? Bien peu de choses, mes fils. Oui, bien peu, aujourd’hui l’Angleterre est bien à plaindre.
Comme si cela ne suffisait pas, ce fourbe de Wellington vient d’ajouter à votre peine bien des maux. Par trois fois il a refusé tout contacte avec le Saint Siège malgré notre acharnement légitime, oui : par trois fois. Ainsi il a commis une grave erreur. Par ces refus, il s’est attiré les foudres de Notre Seigneur et des catholiques de ce monde.
Les nations catholiques de ce monde, avec grand mépris pour votre soit disant roi, ont cessés toute relation avec la couronne britannique. Seulement, vous, fidèles êtes injustement punis par cause de ce maudit Wellington.
Et en plus de cela, ce dernier vient de manquer une deuxième fois à sa parole de Lord en brisant le traité de Gibraltar et déclarant ainsi une guerre ouverte au Très Catholique Royaume d’Espagne. L’Angleterre est déshonoré.
Mais vous ne vous laisserez pas faire. Le Saint Père appelle ses fidèles à prendre les armes contre cette infâme qui vous déshonore tous par ses actes ! Dieu est avec vous, mes fils, n’ayez pas peur de ce Wellington et de ses acolytes car demain la victoire sera votre.
Nous appelons tous les hommes et femmes à se rebeller contre la couronne jusqu’à que celle-ci comprenne enfin qu’elle a un peuple, et que ce peuple n’est pas instrument.
La Grande Albion, maintenant, vous regarde et demande vengeance !
Aux armes ! Aujourd’hui sonnera le glaive, et demain ça sera les chants de la victoire qui bourdonneront dans vos oreilles !