Ambassades Européennes

Ici posteront les ministres et les roi des nations européennes:

Par la grace du seul dieu et de mahomet son prophete le sultan Guillaume Pacha solicite l'ouverture d'une Ambassade representant l'empire Ottomans dans la bonne Ville de Londre.
En Effet nous avons constater le passage de moults marchands anglais en route vers les Indes et desirons etablir des relations diplomatique avec ceux "qui regnent sur les mers".
Nous proposons l'etablissement d'une ambassade de sa gratieuse majesté dans notre Vieille et Magnifique cité Constantinople, Gardienne de l'Orient

Cher Wellington,
En tant que votre futur alliée, je vous demande la construction rapide d'une Ambassade digne de l'Empire Russe a Londres, de préférance le long de la tamise. Nous en reparlerons a Vienne ,lors de la signature de notre alliance !

A bientot, cher ami,
Cordialement

C'est avec joie que je construirais vos ambassades dans ma jolie capitale anglaise, Londres .

Londres, le 12 Mars 1791,

Le Bureau du Roy fait suivre une lettre en provenance de Vienne à l'attention du Roy de Grande Bretagne et d'Irlande :


Vienne, le 11 Mars 1791,

A Sa Majesté le Roy de Grande Bretagne et d'Irlande, Grande Nation par delà les mers.

Son Altesse François II de Habsbourg-Lorraine, Empereur d'Autriche, demande la création d'une ambassade en territoire Anglais, où des relations, nous l'espèrons amicales, pourront se former. Bien entendu, il en sera fait de même sur le territoire Autrichien.

Cordialement,

Le Premier Ministre du Royaume d'Espagne Bernardo fait suivre une lettre en provenance d'Ibiza à l'attention de Sa Majesté Britannique Wellington 1er.

Ibiza, le 15 Avril 1792

A Sa Majesté le Roi d'Angleterre,

Cher Ami,
nos deux Grands Royaumes sont faits pour s'entendre et entretenir les meilleures relations possibles. A cet effet j'ai fait établir dans ma capitale Madrid une Ambassade d'Angleterre. Pourriez-vous avoir l'obligeance de m'en ériger une semblable sur les bords de la Tamise dans votre grande capitale de Londres? Ainsi nous n'en serons que plus proches.

Par ailleurs, je souhaiterais que nous fixions dès que cela sera possible une date pour une venue de votre Majesté dans mon Palais Royal de Madrid. Vous y serez reçu avec tous les égards dus à votre rang, soyez-en assuré. Vous pourrez même en parler à notre ami le Tsar Alexandre, qui s'en est trouvé ravi de son séjour ibérique.

J'aimerai à cette occasion évoquer avec vous la question de la propriété de la ville et des châteaux de Gibraltar, qui sont en votre possession depuis 1713 ; 79 années se sont écoulées depuis lors...
J'espère que nous parviendrons à un arrangement quant à une rétrocession de ce territoire à la Couronne d'Espagne, accord qui satisfaira bien entendu nos deux Royaumes, afin qu'une nouvelle dynamique de coopération et d'échanges puisse s'établir désormais entre nos deux pays, par-delà les terres et les océans.

Veuillez croire, cher ami, en mes sentiments les plus dévoués.

Ferdinand de Bourbon.

A sa Majesté George III,

Le sage roi Benoit des deux-siciles nous invitera probablement vous, moi et l'espagnol autour d'une table de négocitation afin de trouver une solution pacifique à cette affaire de Gibraltar. J'accepte de revenir sur ma décision d'entrer à vos côtés contre Ferdinand. En effet, vous m'avez caché que vous aviez reçu une coquette somme en échange du rocher. Cette information de dernière minute pour moi change tout. Mais pour l'instant trouvons quelques concessions les uns vis-à-vis des autres et remercions notre ami commun Benoît de son pacifisme et de son honnête diplomatie.

Sandrine de Suéde.

J' accepte avec joie cette rencontre .